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Bouclier Spatial - système NMD - US

Video non au bouclier spatial

Non au bouclier spatial

L’histoire du “système national de défense anti-missiles” américain en république Tchèque (et en Europe)

Une histoire de mensonges sans fin, de manipulation et de secrets

Les années 1980La stabilité de la politique internationale était assurée par divers accords et en particulier, par le TNP (traité de non-prolifération) de 1970, ainsi que par le traité ABM (missile anti-balistique) de 1972.Durant les années 80 le projet de “bouclier spatial” des Etats-Unis allait déstabiliser une situation déjà très dangereuse. Mais heureusement on arriva à un accord : Gorbatchev et Reagan signèrent un accord historique, le traité FNI (sur les Forces Nucléaires de portée Intermédiaire) qui amena à une importante réduction des arsenaux nucléaires et marqua le début de la fin de la guerre froide.

Les années 1990

Dans les années 90, les Etats-Unis reprirent le même projet malgré les critiques du monde entier. Ils proposaient d’élargir l’OTAN pour inclure les pays ex-socialistes d’Europe de l’est. Cependant, les USA avaient manifestement un plan : c’est ainsi qu’un journaliste du “New York Times” a demandé en octobre 1996 à Bill Clinton, alors président des Etats Unis Cela signifie-t-il que vous êtes prêt à étendre la protection américaine contre les armes nucléaires à la Pologne, la Hongrie et la République Tchèque ?  NYT, 6.10.1996, question 4.

L’opposition au projet américain devint de plus en plus forte. Le 3 décembre 1999, Jacques Chirac, alors Président Français, déclarait: “Nous devons empêcher toute remise en cause du traité ABM qui pourrait amener à un bouleversement des équilibres stratégiques et à une nouvelle course à l’armement nucléaire.” NYT, 3.12.1999). En  2000  le premier ministre du Groenland, Jonathan Motzfeldt, a déclaré : “Personne au Groenland ne veut agir en un sens qui recréerait l’atmosphère de la guerre froide et je suis heureux que l’OTAN n’ait pas accueilli favorablement le projet NMD. (NYT, 18.9.2000) Après l’échec de deux tentatives et surtout après avoir constaté une résistance à grande échelle, y compris de la part des plus proches alliés européens, Clinton abandonna le projet en 2000. Le vice président al Gore déclara: “Comme président, je m’opposerai au système de défense missile qui bouleverserait inutilement la stabilité stratégique et menacerait de relancer une course à l’armement avec la Russie et une nouvelle course à l’armement avec la Chine.” (NYT, 2.9.2000 

Mais les choses changèrent rapidement. En 2002, Le président Bush se retira unilatéralement du traité ABM, qui aurait assuré une certaine stabilité internationale pour de nombreuses années. Dans le plus grand secret, des négociations furent entamées avec la Pologne et la République Tchèque afin de créer le célèbre “bouclier spatial”. Il devint clair pour le parlement européen que les Etats-Unis voulait diviser et affaiblir l’Europe en utilisant les états politiquement plus faibles et “naturellement” hostiles à la Russie. Chirac, président français, affirma : “Nous devrions nous montrer fort prudents quant à l’encouragement de la création de nouvelles lignes de démarcation en Europe ou au retour d’un ordre ancien. (NYT, 15.4.2007) La Russie, la Chine et d’autres pays européens critiquèrent la politique du president Bush et en 2005, le Canada refusa officiellement de contribuer au projet américain. “Le premier ministre Paul Martin a formellement annoncé que le Canada ne contribuera pas à un système de défense continental que l’administration Bush veut établir. 'La défense balistique n’est pas le lieu où nous concentrerons nos efforts,” a-t-il dit, ajoutant que le Canada allait concentrer ses ressources de sécurité sur la sécurité des frontières, des côtes et de l’Arctique, le renseignement et l’extension de ses forces armées”. (NYT, 25.2.2005)

En août 2006, grâce surtout à la naissance de l’initiative populaire NeZakladnam, les citoyens tchèques ont découvert qu’à leur insu, des troupes étrangères occupaient à nouveau leur pays. Il se peut que sans l’action de ce mouvement, les Tchèques seraient restés dans l’ignorance de ce plan.

Ce n’était que le début d’une longue série de mensonges et d’activités cachées

 Le gouvernement tchèque déclara que le projet faisait partie intégrante de l’OTAN, alors qu’aujourd’hui encore plusieurs états membres de l’OTAN sont contre. Gerhard Schroeder, ex-Chancelier allemand dit alors: “Le système de défense missile planifié par les Etats-Unis et qu’ils voudraient installer en Europe de l’EST est politiquement extrêmement dangereux”. (Herald Tribune, 11.3.2007) On a prétendu que refuser ce plan revient à diviser l’Europe, mais nous avons vu que ce projet a déjà divisé l’Europe. Le gouvernement tchèque a tenté de minimiser les problèmes, affirmant que seule une petite base était concernée. Mais en fait, cela concerne un plan complexe qui met en jeu l’avenir de toute la planète, dans lequel la République Tchèque va jouer un rôle fondamental. Il a aussi été prétendu que le contrôle de la base reposera dans les mains du gouvernement tchèque, mais nous savons très bien que les gouvernements des pays hôtes n’ont aucun contrôle sur les bases américaines présentes sur leur sol.  Comme disait le très bien informé Chalmers Johnson : "(Il existe) une grande stratégie visant à préserver ou même augmenter le pouvoir américain... Cela devient clair lorsque nous portons le regard sur certaines activités secrètes dans le monde... dont le Pentagone est parfaitement au courant, mais au sujet desquelles d’autres organes de gouvernement et la population restent dans l’ignorance d’après un document du sénat italien : “American Military Bases: a history of crimes and abuses

L’opposition reste forte et les consultations montrent clairement que 2/3 de la population tchèque est opposée à l’installation du radar. Depuis, un gouvernement de bric et de broc a été formé, obtenant de justesse la majorité grâce à deux sociaux-démocrates ayant mystérieusement changé de parti, ainsi qu’aux politiques favorables des Verts tchèques envers les bases américaines. Ces derniers ont été fortement critiqués, non seulement dans les rangs de leur parti, mais aussi par les Verts des autres pays européens. “Je suis complètement et foncièrement opposée à une nouvelle base militaire en République Tchèque (ou ailleurs, y compris au Royaume Uni) faisant partie du système de défense anti-missiles américain“.  Caroline Lucas, Green Party MEP, South East England.
En février 2007, le gouvernement tchèque commença des pourparlers avec les Etats-Unis tout en sachant que d’une part la majorité de la population serait contre et que d’autre part 70% serait pour qu’une décision soit prise via un referendum, en réclamant l’application du principe de DEMOCRATIE, du grec  demos" (les gens) et "kratos" (le pouvoir); c’est-à-dire le pouvoir aux gens.

Le 26 mai 2007 l’initiative NeZakladnam a organisé une manifestation nationale à Prague, avec la participation de 5.000 personnes de tous âges et origines sociales, de différentes organisations. Pour les organisateurs il s’agit d’un succès, car cela montre que non seulement les gens ne sont pas d’accord, mais qu’en plus ils sont prêts à le montrer. Mais les mass media tchèques ont décrit une procession de quelques centaines de personnes, essentiellement des pensionnés et des communistes.Video of the demonstration »

Le 20 octobre, une rencontre internationale s’est tenue à Breznice, en présence de 80 maires de la République Tchèque. Un message de solidarité a été envoyé par le maire de Londres, Ken Livingstone, et le maire d’Hiroshima, Tadatoshi Akiba, a envoyé un message vidéo. 50 organisations européennes et américaines étaient présentes, ainsi que les représentants des 13 partis humanistes européens. Tous s’accordaient pour dire que les installations en République Tchèque et en Pologne allaient renforcer des tensions internationales déjà vives et conduire à une course aux armements nouvelle et incontrôlée, avec un risque d’emprunter une voie sans retour. Dans de nombreux pays, des manifestations furent tenues devant les ambassades et consulats tchèques, mais les gens n’ont pas été correctement informés de cette initiative.Video of the mayor of Hiroshima: Tadatoshi Akiba » 

Le 17 novembre (anniversaire de la “révolution de velours” qui a renversé sans violence le régime communiste), une autre manifestation s’est déroulée sur la place Wenceslas à Prague, avec l’appui de syndicats, d’artistes, d’intellectuels et de politiciens.  Mais comme nous l’avions compris sous l’ancien régime, le gouvernement tente de bâillonner toute opposition. Le lendemain, les nouvelles étaient présentées comme suit…..

Les mass media n’ont pas parlé de la rencontre entre Jan Tamas, secrétaire du parti humaniste de Tchéquie et porte-parole de NeZakladnam, et de l’ancien premier ministre Zeman, qui s’est déclaré fermement contre l’installation du système de radar. Le même jour, la télévision nationale a prétendu que les opposants au radar étaient payés par les Russes. Une commission parlementaire a réfuté cela, mais les citoyens tchèques n’en ont pas été informés.

La manipulation et le mensonge ont été utilisés dans d’autres domaines. Durant la guerre en ex-Yougoslavie déjà, les USA ont commencé à utiliser des projectiles à l’uranium appauvri sans en informer leurs alliés. Un porte-parole de l’OTAN, le général Giuseppe Marani, a déclaré que "des projectiles anti-chars contenant de l’uranium appauvri ont été utilisés par des pilotes alliés contre les forces serbes au Kosovo." et ajouté que ces missiles "ne comportaient aucun risque". Bulgaria-Italia.com, 3.5.1999  Cependant, des milliers de soldats italiens sont devenus malades et des centaines sont depuis morts à cause de l’uranium appauvri. Il a été établi que les USA les ont utilisés et continuent de les utiliser au Kosovo, en Irak, au Liban et probablement en Afghanistan. Dans ces pays, la fréquence des déformations génétiques augmente rapidement.Video » Le 1er novembre 2007, à l’Assemblée Générale des Nations Unies, une proposition a été votée, visant la recherche dans l’uranium appauvri, en raison de sa nature dangereuse. Cent vingt-deux Etats ont voté en faveur et seulement six contre : la République Tchèque, Israël, la France, les Pays-Bas, le Royaume Uni et les Etats Unis (OSN, 1.11.2007)  

Depuis des années on nous dit que le bouclier spatial est pensé comme une protection de missiles qui pourraient  provenir de l’Iran. in the official pages of the Missile Defence AgencyScott Ritter, ex-chef inspecteur d’armes de l’ONU, et ex-officier US marines, déclara: “Nous avons vu qu’en Irak il n’y a pas d’armes de destruction massive” Mais immédiatement après les Etats-Unis commencèrent la guerre contre l’Irak. Il ajouta que la situation en Iran pourrait suivre le même cours et que les Etats Unis pourraient entrer en guerre à nouveau, même en l’absence de preuve d’aucune menace nucléaire depuis l’Iran. (video)

Le 12 juin 2007, Victoria Samson, analyste américaine de Center for Defense Information, a déclaré dans un discours au Parlement Européen :  “Ce qui est vraiment blessant c’est que cette expérience de défense anti-missiles des Etats-Unis n’est rien d’autre que cela : un tout nouveau système inconnu et non éprouvé, supposé défendre contre une menace théorique et franchement inexplicable de missiles iraniens qui en outre n’existent pas.”  Anti-missile defense, page. 2)
Selon une étude de 16 agences de renseignements américaines, l’Iran aurait déjà cessé de travailler à la production d’armes nucléaires en 2003. (National Intelligence Estimate (NIE) - Iran: Nuclear Intentions and Capabilities. 
Il est évident que ce système de défense ne peut servir à nous protéger de l’Iran ou de la Corée du Nord et n’est même pas utile contre les missiles chinois ou russes.
Official declaration of the MDA.
Les experts militaires internationaux confirment que ce système de défense est totalement inutile contre les milliers de têtes nucléaires dont dispose la Russie. Selon une théorie largement soutenue, la réelle intention des Etats-Unis est de militariser et de conquérir l’espace et de ce fait d’avoir un control absolu sur la planète. Ce fut la raison fondamentale pour laquelle en 2005 le Canada refusa de collaborer avec les Etats-Unis, comprenant que cela ne les impliquait pas dans un système de défense mais dans un système d’attaque. (Space4peace.org)

Un autre point de vue largement partagé est que tout système de défense est facilement pénétrable et même s’il était réellement efficace, les puissances ennemies pourraient en quelques années construire des missiles capable de le percer. De cette façon, plusieurs améliorations ultérieures de ce système de défense seraient nécessaires, nous poussant dans une spirale interminable où les seuls bénéficiaires seraient les grandes entreprises de l’armement. Comme nous le dit Massimo Zucchetti, physicien nucléaire, de l’école Polytechnique de Turin : L’arme ultime n’existe pas. Après quelque temps, l’arme absolue devient la presque absolue. On trouve toujours un moyen de dépenser les énormes ressources consacrées aux soldats, aux chercheurs et scientifiques militaires.” (Buone Nuove, 26.10.2006) 

Mais voyons plus clairement ce qui se passe

 Le 13 juin 2000, le New York Times écrivait :  Au cours de la dernière décennie, l’industrie de l’armement a dépensé 49 millions de dollars en contributions aux campagnes des politiciens de Washington et 2 autres millions dans une campagne plus subtile et indirecte censée aider à la création d’une atmosphère dans laquelle la pression pour établir un système anti-missile repose sur les deux parties. (NYT, 13.6.2000)
Cela signifie que l’industrie de l’armement a fortement financé les partis politiques et pas seulement ceux-ci : les sommes les plus importantes étaient destinées à des centres d’études et organisations non lucratives, chargés de produire des documents pseudo-scientifiques capables de convaincre les politiciens et l’opinion publique de la nécessité de bâtir un système de défense.  “En tête de l’offensive pour une défense anti-missiles, nous trouvons le Center for Security Policy. Consacré à l’établissement d’un système anti-missiles, le centre a au moins huit représentants de l’industrie de l’armement dans son conseil d’administration – six du seul Lockheed Martin – et diffuse un flot continu d’articles, tout en tenant de nombreux séminaires pour les décideurs de Washington. (NYT, 13.6.2000)

Les sociétés directement intéressées par la construction du bouclier spatial sont : Boeing, Lockheed Martin, Raytheon et Northrop Grumman. (PeaceLink.it) Pour plus d’informations, contactez : CounterPunch.org  Les sociétés Boeing, Lockheed Martin et Northrop Grumman sont toutes clientes de l’agence AMI Communications, qui a reçu pour mission du gouvernement tchèque, d’une manière peu transparente, d’informer la population sur le radar. Le but de cette agence n’est pas d’offrir une information objective et exhaustive, mais de convaincre la population des avantages de « l’offre » faite par ses clients.Tant AMI Communications que Dutko ont des liens avec le parti de droite qui tient les manettes en République Tchèque. D’ailleurs, l’administrateur délégué de Dutko Worldwide en République Tchèque était l’année dernière Alexandr Vondra, qui en tant que ministre avait pris part à la décision de confier la mission d’information à la société AMI. (Greenpeace, Zvědavec.org)

Pendant ce temps, d’autres pays européens sont impliqués dans ce projet américain, comme par exemple la Pologne, où les missiles intercepteurs seraient basés, ou encore le Royaume Uni, où le gouvernement soutient totalement ce système de défense même si la population est contre.Tout en déclarant officiellement que l’Otan et l’Union Européenne devraient parler d’un projet si important, en février 2007 l’Italie a signé un accord secret avec les Etats-Unis : dans le cadre du programme du “bouclier spatial”, de nouvelles bases militaires seront construites en Italie et les bases existantes seront agrandies. Mais c’est toute l’Europe qui est concernée. Les différents gouvernements ont laissé la population dans le secret sur les importantes décisions prises au-dessus de leurs têtes. D’un autre côté, la Russie, après la réponse négative des USA à sa demande de suspension de ce plan, a commencé à produire de nouvelles  armes nucléaires capables de percer le bouclier spatial américain. Dans la déclaration de la campagne Europe for Peace, Giorgio Schultze a dit : “L’Europe ne doit pas soutenir de politique qui pousse la planète vers la catastrophe.”

Chomsky et Gorbatchev ont écrit en 2007, lorsqu’ils se sont joints à cette campagne :“Il est important de rester vigilant et de résister activement à tous les projets qui porteraient à nouveau l’Europe à être l’otage de la peur et des préjudices caractéristiques de la guerre froide.”“L’Europe est mieux placée que quiconque pour entreprendre la mission historique de sauver l’humanité de l’autodestruction.”

Est-il possible de changer le futur ?

Dans un futur immédiat, nous pouvons nous attendre à ce que les sociétés américaines influent fortement sur les sociétés de la République Tchèque et d’autres pays d’Europe. En raison de la pression de ces sociétés, il est probable que l’Otan approuvera ce projet de système de défense. A la solde de ces sociétés, des faiseurs d’opinion, politiciens et experts, vont se présenter à la télévision pour expliquer les avantages des bases américaines sur son propre territoire et les bénéfices des guerres humanitaires... et toute personne qui s’opposerait disparaîtra mystérieusement des plateaux.  L’approbation possible de l’Otan sera utilisée comme une formule magique pour convaincre les gens de l’utilité du “bouclier spatial” – y compris ceux qui doutent à présent.Le penseur argentin Mario Rodriguez Cobos, connu comme Silo, inspiration de la non-violence active, dit : “Que tout se termine dans le chaos et s’en suive un recommencement de la civilisation, ou que nous commencions une phase d’humanisation progressive, ne dépend pas de lois mécaniques inexorables mais des intentions d’individus et de peuples, et de leur engagement à changer le monde…”

En Décembre 2007, le Mouvement Humaniste ayant déjà donné naissance avec d’autres organisations à un mouvement de protestation contre les bases américaines en République tchèque,  a déclaré que les citoyens tchèques avaient tout essayé : une pétition avec plus de 200.000 signatures, des débats, des conférences avec la participation de personnalités du monde scientifique et artistique, des manifestations et discussions avec les politiciens… Malgré tout cela le gouvernement ignore complètement l’opinion de la majorité de ses citoyens.
Nous avons donc décidé d’utiliser une nouvelle forme de lutte : le boycott. Nous proposons de faire pression sur le gouvernement des Etats-Unis au travers de ses entreprises : n’achetez pas de produits américains.

La contestation non-violente a permis des victoires au cours de sa longue histoire : les mouvements les plus connus sont ceux initiés par Gandhi et M. L. King. Ces mouvements ont démontré que la lutte non-violente offre une vraie possibilité de changer les projets violents de nos adversaires. La non-violence a offert à l’Inde l’indépendance du cruel régime colonial britannique et des droits civiques aux Noirs américains.Il dépend à présent de nous que ces exemples se perpétuent : montrons aux gouvernements tchèque et américain la force de la non-violence. Cette nouvelle course à l’armement sans scrupule ne concerne pas que la république tchèque mais toute l’Europe et le monde entier.

Soutenez notre mouvement non-violent ! L’échec du projet américain en République Tchèque pourrait représenter une grande victoire pour la démocratie et serait un important signal de détente pour le monde : la victoire de David face à l’arrogant Goliath!

Le futur peut encore être modifié !Faites passer le mot !

Signez la pétition en ligne

www.nonviolence.cz


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