Le congrès colombien a adhéré à la Marche Mondiale selon les sources du Sénat à Bogota.

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L’entraînement du pouvoir législatif de Colombie dans la mobilisation internationale découle d’une initiative présentée à la Chambre Haute par les parlementaires Yolanda Pinto, Juan de Jesus Cardenas et Oscar Hurtado.

Un porte-parole du Sénat a informé la presse de ce que le congrès avait approuvé en session plénière la présence de trois sénateurs et trois représentants de la Chambre le 2 octobre prochain, au départ de la Marche Mondiale en Nouvelle Zélande.

Ainsi, le pouvoir législatif s’est engagé à offrir un appui à cette mobilisation durant son passage par la capitale colombienne, prévu aux environs du 15 décembre.

La proposition fut défendue par la sénatrice Pinto, veuve de Guillermo Gaviria, gouverneur d’Antioche assassiné il y a quelques années par les forces armées révolutionnaires de Colombie (FARC) avec son conseiller de la paix, l’ex ministre de la défense Gilberto Echeverri et huit membres de la force publique que ce groupe maintenait en otages dans le nord est du pays.

Gavira, qui suivait les préceptes de la non violence, et Echeverri furent capturés alors qu’ils se déplaçaient  à la rencontre d’une population que les rebelles avaient assiégée.

MARCHE MONDIALE